Manger de la viande est un acte cruel

Publié le par pierre eric


Chaque année, dans l’ensemble du monde, 45 milliards d’animaux sont
tués pour nourrir les hommes. En France p.ex., il s’agit de 771 961 000
gallinacés, 25 852 827 porcs, 78 483 000 dindes et canards, 5 708 544
ovins, 843 276 caprins et 36 645 équidés, soit un total de 928 996 923
animaux*..

Les animaux accusent :
”Si nous devons endurer tant de souffrances, c’est parce que 90% des
hommes mangent de la viande"
  
Dans la chambre de torture des poules :

« Notre brève existence de poules  pondeuses se passe dans des hangars
clos, sans fenêtres, tassées dans des cages empilées parfois sur 8
niveaux et dans lesquelles  22 poules se partagent 1m2. L’odeur y est
insoutenable. Après 1 an à 1an½ passés dans nos cellules, nous ne sommes plus rentables à vos yeux et c’est pourquoi nous prenons alors le chemin de vos marmites.   Pourtant, environ 1/5 d’entre nous ne parvient même pas jusque-là. Elles ne survivent pas à ce traitement et meurent du stress subi, d’infections ou de maladies osseuses, etc... »

Dans la prison des veaux :

  « Notre vie durant, nous sommes  enfermés entre 2 cloisons, dans un
espace d’1m2  où nous pouvons à peine bouger jusqu’à notre assassinat
que vous nommez abattage. Il faut bien que ceux qui nous élèvent
rentabilisent leur exploitation ! Le lait maternel dont nous sommes privés est remplacé par un liquide blanchâtre et gras composé de poudre de lait
maigre, de suif, de graisse de baleine et de beaucoup de sel. Ce breuvage
affreusement salé nous donne cons-tamment soif, mais comme nous ne
recevons rien d’autre, nous buvons toujours plus de ce liquide salé. Nous
engraissons ainsi très vite pour atteindre le poids idéal à notre
abattage.   Pendant notre brève existence, jamais il ne nous est donné l’occasion de voir l’herbe verte des prés. C’est seulement sur le chemin qui nous conduit à la mort que nous pouvons apercevoir le soleil pour la 1ère
fois....

Dans les ghettos des porcs :

« Nous, les porcs, nous sommes enfermés dans l’obscurité par groupes
de 80 à 200. Le sol sur lequel nous reposons est grillagé, sans paille,
ce qui nous procure des douleurs intolérables au niveau des
articulations. Nous ne sommes pas considérés comme des êtres qui souffrent, mais traités comme de la marchandise : Pour renouveler et rentabiliser au mieux la marchandise-viande, les truies sont inséminées artificiellement. Ensuite, elles végètent pendant 3 mois ½ dans un réduit, sans lumière. Pour mettre bas, on les sangle dans des enclos prévus à cet effet. Elles peuvent à peine bouger, uniquement se lever et se coucher, de sorte qu’elles sont quasiment dans l’impossibilité de s’occuper de leurs
petits ».

Dans les cellules de la mort des dindes :

« Nous, les dindes élevées de façon industrielle, notre souffrance est
plus grande encore que celle de nos frères les poulets. Afin que nous
devenions d’appétissantes volailles bien dodues, on nous fait subir un
engraissement intensif de telle sorte que nos os peinent de plus en plus
à supporter notre corps devenu trop lourd. Nos pattes s’atrophient et
se déforment sous le poids de la chair. Après 6 mois d’un tel traitement, nous ne pouvons plus nous tenir debout et nous nous affaissons constamment sur nos pattes.  

Sans ménagement, c’est-à-dire sans anesthésie on nous coupe le bec
comme on le fait aussi aux poules et aux canards. Cette mutilation provoque douleurs et irritations incessantes. Imaginez que l’on vous coupe les lèvres, à vous les hommes. »

Vous mangez nos bébés :

« Vous, les hommes, vous vous considérez comme le « sommet de la
création » et  pourtant vous n’arrêtez pas de nous considérer, nous les
animaux, comme de simples produits de consommation. Vous vous repaissez de la chair de nouveaux-nés ! Regardons les faits : beaucoup d’animaux pourraient vivre jusqu’à l’âge de 20 ou même 40 ans, si l’homme ne mettait pas prématurément fin à leurs jours de manière ô combien brutale. Tout onsommateur de viande devrait s’en souvenir au moment où il pique sa fourchette dans son assiette. Ce qui s’y trouve et qu’il s’apprête à porter à sa bouche, c’est bien souvent la chair d’un bébé. »

« Nous, les poules, par exemple, notre durée de vie naturelle est
normalement de 20 ans mais vous ne nous laissez vivre que 5 à 6 semaines et tout au plus 1 an et demi, si vous nous destinez à être des poules pondeuses. Les poussins mâles, considérés comme des sous-produits inutiles et indésirables, ne vivent eux que quelques instants, avant d’être jetés vivants dans le hachoir à viande. »

« Nous, les cochons, nous pourrions vivre jusqu’à 20 ans, mais comme
vous voulez notre chair, vous mettez brutalement fin à notre vie, bien
que nous n’ayons que 5 mois ! »
   
« Nous, les vaches, nous avons une longue vie qui dure normalement
jusqu’à 30 ans. Certaines d’entre nous réussissent même à atteindre les 60 ans. Cependant, vous les amateurs de chair tendre, la plupart du temps
vous nous abattez alors que nous ne sommes encore que de petits veaux,
des bébés âgés de 3 à 5 mois.

Une vache laitière, elle, comme bonne productrice de lait a le droit de
vivre 5 ans mais un taureau n’a pas cette chance. Il ne peut vivre que
18 à 20 mois. »


http://www.vie-universelle.org/francais/tiere/massentierhaltung.html
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J
Sans commentaire...tout est dit et redit !<br /> <br /> Le problème est que les mangeurs de viande (95%des populations) nous entraînent avec eux dans cette spirale auto-destructrice qu' ils ont initiée et dont ils n'ont même pas conscience.<br /> <br /> Je crains que le rapport soit difficile à inverser sinon impossible mais, la mort dans l'âme, continuons notre noble combat car "de l'autre côté", nous pourrons nous regarder dans une glace...nous les végétariens du monde entier.
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